Qu’est-ce qu’un télomère ?

Pour comprendre notre gamme de compléments alimentaires à base d’extraits naturels, il est indispensable de comprendre sur quoi se fonde l’ensemble de nos recherches pharmacologiques. Le cœur de notre travail est basé sur les avancées de recherche sur le télomère.

Mais qu’est-ce qu’exactement ? Un télomère est situé à l’extrémité de l’ADN. Il ne code rien, il stabilise simplement le chromosome et participe de ce fait à l’intégrité du patrimoine génétique. Il est ainsi formé par une séquence de bases azotées TTAGG qui se répètent plusieurs milliers de fois. La dimension d’un télomère évolue avec l’âge de l’individu, il raccourcit à chaque division de cellule, c’est ce rétrécissement qui conduit à la mort de la cellule. On nomme le télomère « l’horloge biologique » de la fin de vie d’un organisme. Pour illustrer ce qu’est un télomère, E Blackburn (prix Nobel de Médecine en 2009) le compare au « plastique situé au bout de nos lacets et qui évite qu’ils ne se délitent avec le temps ».

Les télomères, marqueurs biologiques du vieillissement

Dans les années 70, un biologiste russe émet l’hypothèse que la durée de vie des cellules est entièrement corrélée à la perte des séquences télomériques. On parle de la théorie télomérique du vieillissement. Le Professeur Hayflick développe sa théorie dite « limite Hayflick », qui considère que le télomère est la cause de l’arrêt de la division cellulaire et donc de l’accélération du vieillissement des tissus, c’est la sénescence de la cellule. À partir de ces résultats, on constate qu’il existe une enzyme capable d’inverser le processus en synthétisant de nouvelles séquences d’ADN, c’est la télomérase. Ce sont les travaux de Carol Greider et Elizabeth Blackburn de 1985 qui consacrent la télomérase. En 2009, le prix Nobel de médecine sera décerné à ces recherches. La télomérase est ainsi un chemin d’étude, car son absence devient la cause du vieillissement.

Ainsi, ces études démontrent qu’il serait possible de ralentir voir d’inverser le processus de vieillissement et aiderait à lutter contre certaines maladies.

L’astragale solution pour agir contre le vieillissement ?

Les télomères diminuent avec l’âge, le stress, mais aussi l’inflammation. Certains chercheurs démontrent également que le phénomène d’oxydation et la production de radicaux libres détruisent petit à petit nos télomères et accélèrent le vieillissement.

Suite à une étude réalisée à l’école Médicale d’Harvard sur des souris, les chercheurs ont démontré qu’en réactivant la fabrication de télomérase il y avait un véritable effet de rajeunissement sur ces souris vieillies et affaiblies. À partir de ces analyses de nombreuses autres études sont apparues démontrant alors qu’il fallait agir sur la réactivation de la télomérase notamment en choisissant de s’orienter vers les bénéfices et les propriétés de la nature comme avec l’astragale.

Cette plante asiatique est utilisée depuis toujours en médecine chinoise et médecine ayurvédique. Elle vient donner un coup de « fouet » en revitalisant les personnes affaiblies. Avec des propriétés antioxydantes, elle stimulerait le « QI » (selon la médecine chinoise) en apportant de l’énergie vitale. C’est ainsi que les extraits de l’astragale agissent sur l’allongement des télomères et luttent contre le vieillissement comme le prouvent certaines études américaines.